LES PORTEURS DU ESTAMPILLE

les porteurs du estampille

Istanbul, 2025. Entre les ruelles étroites du quartier de Balat, au croisement des traditions byzantines et des murmures ottomans, une petite échoppe sans société accueillait des clients construits. L’intérieur, saturé d’odeurs d’encres, d’encens et de cire chaude, abritait les outils d’un art traditionnel, dissimulé marqué par lâ

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les silhouette inversées

Les ruelles qui entourent l’échoppe semblaient se modifier à la longue. Les ombres s’allongeaient d'une autre façon, les bruits du marché semblaient assourdis, par exemple filtrés par une membrane invisible. Yasmin observait ses consommateurs se cicatriser, la plupart du temps sans rencontre, intéressés par un effet qu’ils ne comprenai

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L’encre du oracle

Les ruelles autour de l’échoppe semblaient varier tôt ou tard. Les obscurités s’allongeaient par une autre alternative, les bruits du marché semblaient assourdis, à savoir filtrés par une membrane indécelable. Yasmin observait ses hôtes se rétablir, la plupart du temps sans assemblée, séduits par une valeur qu’ils ne comprenaient p

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les porteurs du jalon

Istanbul, 2025. Entre les ruelles étroites du quartier de Balat, au carrefour des coutumes byzantines et des murmures ottomans, une petite échoppe sans société accueillait des utilisateurs conçus. L’intérieur, saturé d’odeurs d’encres, d’encens et de cire chaude, abritait les moyens d’un art ancestral, dissimulé marqué par l’ap

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Les chiffres de l’oubli

Ezra ne dormait plus. Les chiffres s’imposaient à lui dans les reflets de vitrine, les numéros de téléphone, les plaques d’immatriculation, les tickets de métro. Le domaine cosmique semblait se peser d’une photo numérique mouvante, instable, glissant entre les principes semi-précieuses et une autre forme d'esprit. Il ne prévoyait plus

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